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Collaborations avec l'artiste Natacha Clitandre

Site web de Natacha Clitandre

Projet La couleur du ciel est relative

En 2023 et en 2024, Cœur d'épinette a collaboré avec l'artiste Natacha Clitandre pour ses projets Bio/diversité, Avant de tracer un carré et La couleur du ciel est relative.

Bio/diversité :

bio/diversité est un cycle d’ateliers de médiation culturelle créé en réponse au syndrôme de la référence changeante. Souhaitant agir à mon échelle pour contrer ce phénomène par lequel le constat de la diminution constante de la biodiversité se perd d’une génération à l’autre, j’ai convié jeunes et ainé·es de la Maison d’Haïti à des ateliers suscitant la transmission de récits situés et de souvenirs de nature. La crise écologique se mesure alors individuellement et s’instaure une discussion collective sur le déclin de la biodiversité et son impact sur les parcours migratoires du vivant. Des pistes à emprunter pour réduire la production de déchets sont également abordées.


Avant de tracer un carré :

"Avec Avant de tracer un carré, Natacha Clitandre propose de parcourir en petits groupes les abords du « Carré Laval », un site où sont perceptibles – par l’abondante végétation spontanée qui y croît – des évocations du caractère agricole de l’Île Jésus. Pour l’artiste, cet écosystème relativement restreint symbolise les différentes phases de développement urbanistiques de Laval. Des traces de son potentiel agraire et la cicatrice de sa période industrielle y persistent, tandis que s’y projettent les ambitions politiques de rendre la ville attractive."

La couleur du ciel est relative :

La couleur du ciel est relative

Implantée dans le parc Michel-Chartrand, l’installation La couleur du ciel est relative prend la forme d’une structure-jardin inspirée du lakou, un modèle d’aménagement décolonial issu des cultures antillaises, d’Haïti en particulier, qui valorise le mode collectif et facilite le partage des ressources nourricières. Elle comporte un potager, cultivé dans un bac ponctué de panneaux d’acrylique revalorisés, et des boucles vidéo contemplatives, projetées sur des surfaces circulaires intégrées aux végétaux et recouvertes d’un film dichroïque. Cohabitation improbable entre matière organique, végétale, minérale, vidéographique et plastique, l’installation évoque un carrefour où se rencontre et se croise une diversité de perspectives.

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